Golf Saronique, nous voilà :) – Fragkolimano, le 5 aout 2025

Dans la suite du prmier article de ce blog le mardi 5 aout, C’était, en vrac :

  • le temps de traverser le canal de Corinthe. L’endroit est foufou – vais voir si je peux ajouter ptite vidéo à l’article ici 🙂
  • De boire un ice tea à la sortie ôté golf Saronique et constater : se retrouver face au vent, un bon 15 kts établis. Décidément, les prévisions ne valent rien. Alors dans le doute que cela forcisse encore, on se prépare à la baston. Les giets de sauvetages sont de sortis, la boss de ris 2 à poste, tout le bateau est calé à la gîte : ptit équipage est trop chaud. Au loin quelques cargos stationnaires. La mer encore assez lisse mais blanche d’écume. Quelques milles nautiques plus loin, tout cela avait bien mollis, on libère toute la toile, pour un petit bord de près tout doux vers le sud le long de la ôte du péléponèse.
  • Nous avons aussi envoyer Emma en haut du mât pour l’experience. Et faire une petite vidéo marrante pour sa maman qui parait-il n’est déjà pas très rassurée. Sales goss.
  • Puis mouillage dans petite crique. Lieu nommé « Fragkolimano » sur les cartes. Trop petite crique. Il n’y avait plus vraiment la place de jeter l’ancre avec les deux bateaux déjà présents. Mais, parmis les deux bateaux,il y avais celui de Octave et Guimette. couple de jeunes medecins qui ont pris une année de dispo et sont tout sympas : ils sont daccord pour qu’on sammarre à leur bateau, que l’on profite de leur ancre. La soirée ensuite, étaoit toute douce à boire des bieres sur leur bateau. Nous sommes accrochés ensemble sur leur ancre, nos destins sont liés. On plaisante : je mets une alarme de faible profondeur sur mon sondeur, ils mettent une alarme si l’on sort du demi-cercle d’evitement sur leur bateau. Le vent tourne dans la nuit. Nos alarmes sonnent presque en êmme temps. La blague. On se retrouve toustes à l’arrière de nos bateaux. Nous sommes à 10 metre de petites barques de pecheurs. Nous voilà débattre de savoir si la chaine est deja tendue ou si nous pourrions encore leur reculer dessus. De savoir si l’on s’en va, si l’on reste et surveille; Si l’on plonge voir la chaine et si l’on y verrais quelque chose, et si quelqu’un n’a pas la flemme. La flemme surtout enfaite, de partir de cet endroit pour mouiller plus loin. C’est pourtant l’option la plus sage et que l’on retiendra : on quitte le bateau des copinous, on va jeter l’ancre plus loin

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